« Comment j’ai pris un Cul par Catalan »

Publié le par Nafanole

Très peu coutumier du fait, cet article va illustrer la sortie très médiatisé du roman « Comment j’ai pris un Cul par Catalan » dont le contenu met en lumière les aléas d’une action de rugby irréversible, l’emprisonnement psychologique et l’exclusion sociale qui peut en découler. Cette œuvre éloquente raconte la courte carrière d’un « joueur » de rugby, qui, du jour au lendemain, devient la risée de tout un club. Les conséquences qui en ont découlé suscitent l’émoi au sein de la communauté rugbystique toute entière, puisque le protagoniste s’est finalement reconverti dans le monde du football… Synopsis :

 

Nous sommes le jeudi 5 décembre et « Atrupas », notre héros (ou plutôt personnage principal vu ce qu’il va suivre) s’apprête à disputer ce qu’il définira bientôt comme le dernier entrainement d’une carrière stérile. Doté d’un humour poussif, il jouit d’une certaine notoriété au sein de son club, puisqu’il se permet de critiquer ouvertement joueurs et dirigeants à travers des articles qu’il définit comme étant « plutôt drôle ». Néanmoins force est de constater que sa perception de l’humour reste comme son équilibre : fragile.

 

En face se dresse le Catalan, une ancienne gloire de l’USAP selon ses propres dires, mais qui passe désormais plus de temps dans les soirées Afterwork plutôt que sur les pelouses. Professionnel des menuiseries et portes en tout en genre, il n’en demeure pas moins un spécialiste du courant d’air si on en croit sa science du plaquage…  Toutefois le Catalan dispose d’un avantage de poids à ne pas négliger : sa force de pénétration, rugbystique hein.

 

De manière séculaire, les deux hommes s’affrontent pour le titre de seconde ligne le plus grâââs du Club. Privé de titre ces deux dernières années suite à une prise de poids exceptionnelle de son homologue, Catalan semble toutefois avoir retrouvé de sa superbe. C’est dans ce contexte de confiance en sa propre inertie que Catalan a décidé de placer une attaque ad hominem sur l’épaule de l’Atrupas qui n’en demandait pas tant. La sensation de perte d’équilibre n’est jamais agréable lorsqu’on loupe un plaquage, celle du sol gelé sur les fesses non plus…

 

C’est donc tel un « sanglier blessé » que le malheureux regagna les vestiaires sous les quolibets de ses anciens coéquipiers et amis, il est aujourd’hui  le seul homme sous le soleil à avoir pris un Cul par le Catalan, la honte…

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